mardi 5 février 2008

Jacques-Louis Battmann (1818-1886)

Plus kitsch que Lefébure-Wély (et apparemment aussi dépourvu de complexes que d'inspiration, dans ses oeuvre[tte]s liturgiques), beaucoup moins sombre que son homonyme moderne de Gotham City... Battmann serait plutôt le remède idéal - en do majeur - pour les jours de spleen !

Malheureusement, ses partitions ne semblent actuellement plus accessibles.

Le site américain "inhymn.com", qui a disparu, proposait quelques extraits dans sa sélection pour orgue. Il reste toutefois quelques échos de ces publications au format TIF dans la "machine à remonter le temps" (site archive.org : chercher inhymn.com, et fouiller dans les archives disponibles en suivant le lien "organ" à gauche : les versions 2003-2004 - pour le moins - semblent avoir conservé quelques fichiers de Battmann).

N. B. : ces extraits d'une ancienne édition américaine n'étaient pas registrés pour l'harmonium, mais un recueil similaire en édition française d'époque, de ma petite collection personnelle, ne porte aucune indication non plus. Après tout, c'était également le cas pour les recueils de Boëllmann et de Ropartz, entre autres, dont la registration était laissée à l'appréciation de l'exécutant, mais... c'est bien le seul point commun de ces compositeurs de talent avec Battmann !!!

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